Dès la tombée de la nuit, vous êtes plus vulnérables
Moins de 10 % des déplacements à vélo se font la nuit, mais ils entrainent 20 % des accidents corporels ou mortels. (Bilan Sécurité Routière 2018)
Près d’1/3 des accidents aux heures de pointe a lieu quand il fait sombre. C’est également dans ce cas que se produisent 50 % des refus de priorité aux cyclistes. Les automobilistes impliqués dans les accidents disent la plupart du temps qu’ils n’ont pas vu le cycliste.
Voir et être vu, c’est plus que réglementaire, c’est vital
Les cyclistes et les trottinétistes croient souvent être vus parce que l’éclairage public ou les vitrines des magasins sont allumés. Ils pensent qu’ils n’ont pas besoin d’éclairage. Or, le cycliste ou le trottinétiste sans éclairage n’est pas visible.
En effet, le cycliste ou le trottinétiste voit la rue et les voitures, mais sans éclairage, il n’est pas vu ou n’est vu qu’à la dernière minute par les autres usagers de la route.
C’est pourquoi, être vu est primordial pour la sécurité des usagers des mobilités actives et douces (cyclistes, piétons et usagers à trottinette). Indispensables de nuit, les éclairages le sont aussi de jour dès que la pluie et le brouillard rendent la visibilité insuffisante.
Comment être bien visible de nuit à vélo ?
Equipements obligatoires (en orange) et équipements conseillés (en jaune) :